Royan 2016
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Royan port de pêche participe depuis le début du Défi des Ports de Pêche : organisateur en 1998 et 2004, c’est le recordman des victoires avec 6 titres en 1998, 2004, 2005, 2006, 2009 et en 2014 !
- En 2015, il se classe 4ème et remporte 1 course et le joli Trophée Jacques Sauneuf récompensant la manche d’entraînement.
Composition de l’équipage
- Pêcheurs
Bernard PERAUDEAU, pêcheur en retraite, Président du FROM Sud-Ouest
Michel COUTANCEAU, retraité de la pêche
Lionel BARRAU , pêcheur en activité
Didier BERNELAS , pêcheur en activité
- Filières pêche
Dominique MALOCHET, filière pêche
Marie-Jo SAENZ DE NAVARRETE, filière pêche
David PASSERAULT, directeur de la criée
Nicolas VANDEBROUCK, employé de criée
Jean-François CRUETTE, Conseiller technique du bord
Le défi à terre
Sur le village, Marie-Jo et l’équipe dynamique du stand portent les couleurs du Port de Royan et de la Communauté d’Agglomération du Pays Royannais.
Dégustation et produits locaux
Ainsi, chaque jour, Marie-Jo, Christine, Annie, Danièle, Marie-Thérèse, Charline, Sylvie, Liliane, Monique, Nathalie, Claude, Alain et Pierre-Henri vous présentent les activités touristiques et nautiques de Royan et ses environs, …
et bien sûr, des recettes exécutées sur leur stand-cuisine : Terrine de Merlu, Terrine de Maigre, Rillettes de Maquereau, Huîtres aux petits légumes, Flan de St-Jacques, Choucroute de la mer, Lotte au pineau,...
ainsi que de très nombreuses dégustations de produits de la mer : têtes de seiches marinées, maigre fumé chantilly de ciboulette, rillettes de maquereau, seiches au curry, beignets d’algues, marinades, terrines de merlu, beignets de merlu, verrines de la mer, …
- Royan sera en force lors de la grande dégustation des ports de la façade Atlantique, vendredi 6 mai à 19h sur le Village !
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[toggle title= »Le port charentais »]
Le port de Royan est une régie autonome qui gère 3 ports : port de pêche, commerce et plaisance. La direction de ces 3 ports est confiée à David Passerault ; tandis que Joël Richaud est responsable de la criée – port de pêche.
- La criée de Royan, c’est 980 tonnes/an, une petite criée en volume mais qui, grâce à la commercialisation d’espèces nobles et une réputation de qualité et de fraîcheur, reste la première de France en prix moyen au kilo, plus de 8 € en 2014. A noter que plus de 60% de la production est vendue par Internet.
- On distingue divers types de bateaux en fonction des temps de pêche et des métiers pratiqués. Une flotte de 33 bateaux, dont 3 à la pêche au large et 30 à la pêche côtière (majoritairement : filets dormants et palangres). Les « familles » les plus représentées sont :
Quelques fileyeurs (16-24 m) qui partent pour 5 jours. Leurs filets maillants dormants sont immergés chaque soir et relevés la nuit. Leur apport est constitué à 80% de sole, puis barbue, bar,…
Le reste de la flottille (6-12m) effectue des sorties journalières. Bateaux polyvalents, ils changent de techniques au fil des mois, suivant les migrations des espèces nobles. Ils pratiquent ce que l’on appelle une pêche « douce ». La plupart emploie des lignes ou palangre pour pêcher les bars, raies, dorades… Ils recueillent les poissons toujours vivants ce qui est gage de qualité et de fraîcheur.
- La qualité plutôt que la quantité, tel est l’objectif que s’est fixé la criée de Royan. La majorité des petits bateaux qui pratique la pêche à la ligne adhère à la démarche qualité mise en place par l’IRQUA (institut régional de la qualité agro-alimentaire). Cette démarche impose des règles précises de pêche et de conservation qui vont au delà des normes réglementaires. Chaque poisson est identifié avec un pin’s numéroté qui permet de remonter l’historique du produit (lieu de prélèvement, jour, bateau, date de vente,…).
Espèces phares :
Des professionnels, les ligneurs en particulier, se sont engagés dans des démarches qualité pour faire reconnaître leurs produits et assurer la traçabilité, notamment pour le bar et le maigre qui disposent de l’identification « signé Poitou-Charente ».
- La sole, 220 tonnes.
- Le bar de ligne pinsé, 70 tonnes.
- Le maigre, 180 tonnes : une espèce locale et saisonnière spécifique à cette région. Pêchés à la ligne, ces individus font de 500g à 55 kg. Cette pêche est en progression tant en volume qu’en valeur grâce à la vente par internet, qui permet de toucher plus d’acheteurs, et suite aux efforts de promotion. C’est une espèce qui se fait connaître et reconnaître auprès du grand public avec une qualité de chair équivalente à celle du bar.
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[toggle title= »Les recettes »]
Terrine de Maigre
Pour 4 personnes
- Ingrédients :
500 gr de chair de maigre
400 gr de crème fraîche liquide
50 gr de beurre
3 oeufs
Sel, poivre, ciboulette, persil.
- Préparation :
Passer la chair de Maigre au mixer, ajouter les oeufs, puis la crème, bien mélanger.
Saler, poivrer, ajouter les herbes.
Cuire 1h dans un moule bien beurré, au bain marie , dans le four thermostat 7.
Mettre au frais puis dégustez !
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La Cotinière – Oléron 2016
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En 2016, l’équipage débarque à Royan avec la fameuse Barre à Roue.
La Cotinière – Oléron a participé à toutes les éditions du Défi des Ports de Pêche depuis sa création, et décrochait le titre de vainqueur en 2015 pour la 1ère fois !
Composition de l’équipage cotinard
Les pêcheurs : A l’instar du Pays Bigouden, à bord du voilier du port de pêche de l’Ile d’Oléron, 2 marins-pêcheurs ont participé à tous les défis…
Tristan Moreau : patron pêcheur d’un bateau de 16 mètres, pratique la pêche au filet à soles puis à lottes et turbots à la belle saison.
Adrien Autrusseau : patron pêcheur d’un bateau de 12 mètres, pratique la pêche au chalut l’été et traque la dorade royale l’hiver.
Tanguy Massé : patron pêcheur d’un chalutier pélagique de 12m, pratique la pêche au chalut de fond l’hiver, et sur le céteaux l’été.
Paul Meteau : matelot sur un ligneur de 10m, chasse le bar.
Jean-Jacques Griffon : retraité marin-pêcheur.
Remplacents : Frédéric Moreau : retraité, ancien patron pêcheur – fileyeur
Dominique Derrien : marin pêcheur – ligneur
- Le plaisancier : Jérémie Steyaert, architecte naval.
Le défi à terre
Le sympathique stand de la Cotinière est tenu Fiona, Sylvie, Frédéric ou Dominique (selon qu’ils naviguent ou non). Vous trouverez :
- des brochures et visuels touristiques de l’Ile d’Oléron.
- des produits locaux et artisanaux : Pineau des Charentes, Soupes de poisons, rillettes de poissons de la conserverie de la Cotinière (La Lumineuse) ainsi que la bière Ford Boyard.
- Et aussi, de la cuisine en journée : une petite faim ? n’hésitez pas à venir chercher votre barquette de beignets et autres mets à base de produits de la pêche, selon les arrivages du jour : lotte, céteaux, crevettes, merlu, seiches…
Dégustations et produits locaux :
Bisque de Langoustines, pineau des Charentes, galettes oléronaises, sur le stand et le vendredi 6 mai à 19h lors de la grande dégustation de la façade Atlantique au Village.
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[toggle title= »Zoom sur la pêche cotinarde et ses produits phares »]
Pêche artisanale côtière et petite pêche
Seul port de pêche sur l’Île d’Oléron, situé sur la côte ouest, 120 bateaux débarquent régulièrement à la criée 2 fois par jour sauf le samedi.
- Les espèces débarquées à La Cotinière le sont à l’issue de marées courtes (moins de 96 h de mer pour les navires côtiers et moins de 24 h pour les navires de petite pêche).
- Ces navires pratiquent le chalutage, le filet, le casier (crevettes et gros crustacés) et la ligne (palangre) principalement.
La double caractéristique des navires cotinards est leur polyvalence (capacités à changer d’engins de pêche selon les saisons) et la recherche constante de la qualité.
- En 2008, les chalutiers langoustiniers équipés de grilles pour l’échappement des juvéniles de langoustines et des petits merluchons ont été primés par une ONG environnementale internationale, dans le cadre d’un programme réunissant les navires pêchant cette espèce dans le Golfe de Gascogne.
Leurs travaux en partenariat avec les scientifiques (Ifremer – Aglia …) sont permanents pour améliorer l’impact de leur activité sur le milieu naturel et mieux comprendre les évolutions de celui-ci.
Pêcheurs responsables, les cotinards sont amoureux de leur métier et souhaitent qu’il puisse durer et être transmis aux plus jeunes.
Produits « phares » de La Cotinière
- sole, bar, maigre, seiches, encornets, langoustines.
Convaincus que le consommateur est très demandeur de productions locales et identifiées, l’Organisation des Producteurs de la Cotinière et la Direction du Développement du Port ont réfléchi à la mise en avant de ces productions artisanales locales en misant sur la qualité des produits de la mer proposés aux consommateurs.
La transformation complète l’activité
Chaque année d’importants volumes de poissons et de fruits de mer ont été transformées en bisque et en conserves.
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[toggle title= »1er port de pêche artisanal de Charente-Maritime »]
Flottille actuelle
95 navires soit 300 marins partent en mer, tout au long de l’année, pour des marées de 24 à 72 heures et malgré quelques mouvements, la flottille du port de la Cotinière reste stable.
L’activité de la pêche encourage l’implantation de zones d’activités allant de la construction-réparation navale, de l’avitaillement des navires et de services aux armements à la filière navale de la criée municipale, aux ateliers de mareyage et aux entreprises de transformation du poisson. Cette activité est un véritable moteur économique, car le port contribue fortement à l’activité touristique de la commune de Saint-Pierre d’Oléron et de toute l’Ile d’Oléron.
- Toutefois, pour faire face aux éventuelles difficultés futures de leur activité, les responsables portuaires mettent en place des démarches de qualité et de traçabilité qui permettent une reconnaissance du produit, le développement des ventes et une meilleure productivité, de façon à pérenniser une filière qui reste fragile, car très dépendante de la ressource, de la gestion collective de la filière et des consommateurs.
Un peu d’histoire : La criée a fêté récemment ses 100 ans !
La pêche est une activité ancienne à La Cotinière qui, de vivrière, pratiquée en appui de l’agriculture et de la viticulture, est devenue peu à peu une activité professionnelle à part entière, axée sur des savoir-faire transmis au sein des familles. En appui de l’agriculture et de la viticulture, la pêche artisanale est devenue peu à peu une activité professionnelle à part entière.
- Originalité, la criée est gérée depuis toujours par la Municipalité de Saint-Pierre d’Oléron, en contact permanent avec les marins et mareyeurs du site de La Cotinière.
Les principales espèces vendues
Le port de la Cotinière offre une diversité importante des espèces pêchées, notamment la sole, la langoustine, le bar, le céteau… en tout ce sont plus de 90 espèces qui sont débarquées au port et vendues à la halle à marée 2 fois par jour, 5 jours pars semaine.
- L’activité de la halle à marée est en constante progression. Des résultats très satisfaisants sont à mettre à l’actif de la flotte artisanale côtière.
« Export » de pêche
Si le port de la Cotinière est très bien placé au niveau régional, l’export représente un pourcentage important du chiffre d’affaires des mareyeurs, notamment en ce qui concerne la sole et le bar (plus de 40 % du total de la production).
- Les autorités portuaires ont su, ces dernières années, moderniser l’outil de travail: criée informatisée et entièrement rénovée, élévateurs à bateaux, grues de débarquement, viviers, boxes de mareyage….ce qui fait du port de La Cotinière le premier port de pêche charentais.
Le port de pêche municipal de La Cotinière : un fort impact économique positif sur l’économie locale.
En effet 350 emplois embarqués sont créés directement par l’activité de la pêche et autant à terre, dans les emplois liés à l’organisation, la commercialisation et les autres métiers du site.
- Par ailleurs, le port de La Cotinière, caractérisé par son dynamisme et son activité permanente, présente un certain nombre de particularités qui attirent le tourisme.
La plus importante étant bien sûr, la possibilité à toute personne, d’assister à la criée, grâce à une galerie d’accès où des panneaux explicatifs permettent de comprendre l’activité portuaire et de vente sous criée (s’inscrire pour les visites auprès de la Maison du Tourisme de l’Ile d’Oléron).
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Port en Bessin – Huppain 2016
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Une équipe soudée, très sympathique et généreuse, une belle présence sur le Défi !
- Présent depuis très longtemps sur le Défi ! Ainsi, chez eux en 2015, les portais se classaient 18ème.
- Organisateur du Défi 2015, une superbe édition !
Composition de l’équipage :
- Les pêcheurs :
Quentin YONNET, patron – pêcheur, skipper
Jérôme VIQUELIN, patron-pêcheur
Cédric LECAPLAIN : patron – pêcheur du « Louis André » (16m)
Sylvain CASTEL : patron – pêcheur d’un caseyeur côtier
Matthieu YONNET : patron – pêcheur
Séguin MAHISSE : patron – pêcheur
- Le plaisancier : Jean-Christophe DELAIN (agent marketing) / Jean-Marie LEMEST (commercial)
Le défi du Bessin à terre
Une équipe chaleureuse et efficace qui anime le village des pêcheurs par ses chants traditionnels et ses dégustations. Le stand du village des pêcheurs est tenu par les épouses des marins-pêcheurs. L’espace est décoré aux couleurs de Port en Bessin et Bayeux. Vous y trouverez notamment :
- La présentation des actions de Normandie Fraîcheur Mer et des fiches recettes.
- Les informations touristiques et les activités de la commune : son Golf, les visites du port, les possibilités d’accueil, …
Dégustations et produits locaux :
Tous les jours sur le stand portais : c’est cuisine ! Coquilles Saint Jacques, Bulots, Seiche et Cabillaud… (selon approvisionnement). Découvrez les recettes ‘à la Portaise’ !!
Port-en-Bessin et ses coquilles St Jacques seront bien sûr présents, avec un succès toujours renouvelé, le jeudi 5 mai à 19h lors de la dégustation façade maritime Manche au Village.
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[toggle title= »A la découverte de la localité »]
Port en Bessin – Huppain se situe dans le Calvados, à proximité de Bayeux, et se niche dans une fine échancrure creusée par l’Aure et la Drôme dans les falaises du Bessin. Le port et le village se blottissent au fond de cette vallée qui regarde le nord… Cette municipalité, accueillante, réalise des efforts significatifs dans le domaine lié aux activités de la pêche et de son environnement.
- Au coeur du débarquement du 6 Juin 1944 : vous pourrez vous vous remémorer l’opération Overlord en parcourant les plages de la région, dont la plus proche Omaha Beach !
- Plongez dans l’histoire médiévale en admirant la fameuse ‘Tapisserie de Bayeux’…
En savoir plus
- Port en Bessin – Hupin est une commune de 2000 habitants qui vit essentiellement de la pêche et de la transformation des produits de la mer.
- Parallèlement et pour compenser la baisse de l’activité pêche, un effort important est réalisé dans le domaine du tourisme avec, par exemple, la création récente d’un village « Pierre et Vacances » ou encore l’extension du Golf d’Omaha à 36 trous…
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[toggle title= »La pêche & produits phares »]
Port-en-Bessin est le 13ème port de pêche de France en valeur.
La flotille :
- 10 chalutiers hauturiers de 18,5 m à 24 m, qui pêchent en Manche Est et en Manche Ouest selon la saison.
- 10 « petits » chalutier ou fileyeurs pratiquant une pêche côtière (coquille st-jacques, chalut, filet)
La coquille St Jacques ‘Label Rouge’
La période de pêche à la coquille se situe d’octobre à mai avec une surveillance de l’état de la ressource constante : les dates d’ouverture et de fermeture de cette pêche varient selon son évolution (nombre, taille, etc.) et des interdictions sur les zones d’exploitation peuvent intervenir pour les navires français (bande des 6MN de la côte…).
Il est à noter que de nombreux bateaux de Granville, Dieppe ou Boulogne/Mer ont pour pour d’attache Port en Bessin.
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Seiches à la Portaise
Cuire les seiches au court bouillon 35 à 45 min
Les couper en morceaux. Faire revenir les oignons dans la poêle avec du beurre.
Ensuite, ajouter la crème fraiche et le concentré de tomate. Laisser mijoter ¼ h à feu doux.
Mettre les seiches dans la préparation.
Laisser cuire à feu doux 20 min.
Bulot à la Portaise
Cuire au court bouillon les bulots 40 min
Attendez qu’ils soient froids, enlever les boyaux. Mixer les bulots en petits morceaux. Les faire revenir dans une poêle avec du beurre, du persil haché et de l’ail haché.
Quand tout est bien revenu, ajouter de la crème fraiche
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